Seminar
22-23 September 2022 at Centre Universitaire Méditerranéen C.U.M.
In order to better know and make known the diversity of gardens, the Heritage departments of the Ministry of Culture and the Regions identify, study, preserve, restore and enhance the gardens: park of large residence, botanical garden, pleasure garden, garden of utility, public garden, garden-school, shared garden, vegetable garden, allotment garden, collection garden, etc. Almost twenty years after the creation of the Remarkable Garden label by the Ministry of Culture and the assumption of responsibility for the General Inventory of Cultural Heritage by the regions, the different approaches of heritage services deserve to be questioned.
In connection with the City of Nice and the Mission Nice Patrimoine Mondial, two study days are proposed, "Gardens, inventory: from study to development", on September 22th and 23th, 2022, to take stock of the policies carried out and the different approaches undertaken to study and enhance the garden in the territories.
They are aimed at everyone and more particularly at the staffs of the regional cultural heritage inventory services (researchers, photographers, documentalists, mediators), regional conservation of historical monuments (curators, protection officers, engineers and technicians ), departmental units of architecture and heritage (architects of French buildings, engineers and technicians), garden correspondents and architecture advisers in DRACs, but also to a wider audience, according to the reception capacities of Centre Universitaire Méditerranéen.
Series of conferences, in partnership with the Department of Historical Heritage of Nice
NB : all conferences are in French only
The department « Ville d'art et d'histoire » (culture and history) of our city, in partnership with the « Mission Nice Patrimoine Mondial », presented a series of conferences about « NICE, WINTER RESORT TOWN OF THE RIVIERA ».
The program included conferences, reports and unpublished archival documents, illustrating the originality of our heritage.
Nice, patrimoine mondial
par Jean-Jacques Aillagon, Ancien Ministre de la Culture et de la Communication, Président de la Mission Nice Patrimoine Mondial et Maître Gérard Baudoux, Adjoint au Maire de Nice, délégué au Projet Unesco, au Patrimoine Historique, à l'Archéologie et au Mécénat.
par Sylvaine Le Yondre, Adjointe au conservateur régional, Conservation régionale des monuments historiques, Direction régionale des affaires culturelles Provence Alpes Côte d’Azur,
Stéphane Morabito, Directeur des patrimoines, Ville de Nice,
et Cécile Verdoni, Animatrice de l'architecture et du patrimoine, Service d'Art et d'Histoire, Ville de Nice.
par Edith Fagnoni, Professeure de Géographie, et membre du Laboratoire Médiations, Sciences des lieux – Science des Liens, Sorbonne Université,
Membre associé du Laboratoire EIREST (Équipe Interdisciplinaire de REcherche Sur le Tourisme), Université Paris1 – Panthéon-Sorbonne
Henri Matisse in Nice, from the workshop to the museum
Lecture by Claudine Grammont, director of the Matisse-Nice Museum, filmed on the 31st of March 2021, as part of the cycle « Nice, la ville de la villégiature de Riviera », jointly organized by the department of Culture and Heritage and the Mission Nice Patrimoine Mondial (City of Nice).
Artist from Cateau-Cambrésis, in the North of France, Matisse has always been attracted by the South and the Mediterranean. It is indeed the light of the South and the Mediterranean topos that determine a work that is both radically new and anchored, through its themes, in the pictorial tradition. Arriving in Nice in 1917, Matisse made it his land of election, the place where he decided to settle and paint until the end of his life in 1954. His successive workshops in Nice gave birth, each time, to a new period of his work. His universe joins, by the universal character of his plastic writing, the eternal Mediterranean that expresses itself so uniquely and so fully in Nice. A founding member of UMAM, Matisse, along with Bonnard, was part of the creation of the first museum of modern art in Nice. In 1963, the Matisse Museum opened from the collection bequeathed by his heirs to the City of Nice.
Patrimoine et infrastructures sur la Riviera
par Marc Barani, architecte à Nice, membre de l’Académie des Beaux-Arts, Grand Prix national de l'architecture en 2013, Grande Médaille d’Or de l’Académie d’Architecture en 2018.
April 27 2021 : participation in a China-France meeting, in the context of the cooperation between Nice and Xiamen, about the World Heritage site of Gulangyu.
Gulangyu Island offers an exceptional example of cultural fusion of local and international architectural styles. These are the characteristics that were consecrated by UNESCO in 2017 with the inscription ok Gulangyu on the World Heritage List. Thus, Gulangyu is an example for Nice, also characterized by an international history that has produced remarkable cosmopolitan architectures.
« I wish that we establish the cooperation with the City of Xiamen, on good practices and exchanges of experience in the conservation of our heritage, and the management of tourism flows associated with it. »
Mr Jean-Jacques Aillagon, Former French Minister of Culture and the Chairmen of the Nice World Heritage Nomination Team
« Nice, Cinémapolis » - 11 juin 2019
Conférence de présentation de l’exposition « Nice, Cinémapolis » - Musée Masséna - 17 mai au 30 septembre 2019
Commissariat : Jean-Jacques Aillagon & Aymeric Jeudy, dans le cadre de « Nice 2019, l'Odyssée du cinéma »
Conférences organisées par le service du Patrimoine Historique
2019, dans le cadre de la biennale « Nice 2019 - L'Odyssée du cinéma »
Samedi 25 mai 2019 René Prédal « La Nuit américaine. La Victorine vue par François Truffaut »
Samedi 16 novembre 2019 Christophe Prédal « Le cinéma dans la ville : architecture et histoires des salles de cinéma niçoises »
2018, dans le cadre du cycle « Nice - Turin, mémoires d’hommes et de pierres »
Samedi 29 septembre 2018 Sergio Pace« Architectes et ingénieurs piémontais en mission de travail sur la Côte d’Azur au XIXe siècle »Plus d'infos sur la conférence
« Architectes et ingénieurs piémontais en mission de travail sur la Côte d’Azur au XIXe siècle » Samedi 29 septembre 2018 à 15h au Mamac
par Sergio Pace, architecte, professeur à l’Ecole Polytechnique de Turin
Entre le XIVe et le XIXe siècle, malgré son éloignement géographique et les difficultés de liaisons routières avec la capitale Turin, Nice n'a jamais été une ville secondaire sur l'échiquier du Duché de Savoie, puis du Royaume de Sardaigne. L'administration centrale a toujours sauvegardé son extraordinaire position sur la Méditerranée, à la fois comme refuge et comme avant-poste sur une frontière particulièrement sensible. Ainsi, au cours des siècles, il y a eu de nombreux techniciens militaires et civils qui, venant de Turin et travaillant pour le gouvernement central et/ou les administrations locales, ont contribué à la construction de la ville et de son territoire.
Le dialogue constant entre les élites sociales et les institutions administratives, à Nice et à Turin, correspond à un dialogue fructueux entre professionnels - architectes, ingénieurs, géomètres - qui passent de courtes ou longues périodes dans la ville, pour concevoir et construire des infrastructures de grande importance, comme le port Lympia, ou des bâtiments individuels, souvent importants du point de vue architectural et symbolique, comme l'église Notre-Dame-des-Grâces ou du Vœu.
Nice, entre le XVIIIe et le XIXe siècle, est devenue un champ d'expérimentation pour une communauté de professionnels nés et formés en dehors de la ville : à Turin, en particulier, mais aussi dans des lieux plus inattendus, comme dans le cas de Paolo Emilio Barberi, architecte romain devenu niçois qui, des nombreuses transformations du début du XIXe siècle, sera le plus précis narrateur visuel.
Samedi 20 octobre 2018 Roberto Caterino « Nicolis di Robilant et les architectes de la cour à Nice au XVIIIe siècle : leurs projets pour la ville »
Samedi 10 novembre 2018 Paolo Cornaglia « Du château de Govone au Palais Masséna : le décor intérieur d’un château royal piémontais »
Samedi 17 novembre 2018 Filippo De Pieri « Gouverner les villes du royaume de Sardaigne : les Consigli d’Ornato de Turin et Nice au XIXe siècle »
2017, dans le cadre du cycle « Nice, muse et miroir d’inspiration musicale »
Samedi 16 décembre 2017 Jonathan Duclos-Arkilovitch « Jazzin’Riviera, une histoire du Jazz sur la Riviera »
Samedi 25 novembre 2017 Robert Adelson « L’album d’autographes musicaux de la famille de Cessole »Plus d'infos sur la conférence
Samedi 21 octobre 2017 Pierrette Mari « Nice, muse et miroir d’inspiration »
« L’album d’autographes musicaux de la famille de Cessole » Samedi 25 novembre 2017 à 15h
par Robert Adelson, professeur d’Histoire de la Musique et d’Organologie - Conservatoire de Nice
Dans l’histoire de la musique de Nice, un document a acquis une renommée mythique : l’album d’autographes musicaux du Comte Eugène de Cessole (1785–1864), musicien passionné qui possédait l'une des collections les plus prestigieuses de violons de la première moitié du XIXème siècle. Cet album, précieusement conservé par la famille de Cessole, ne fut exposé qu’une seule fois, en 1935. Il renferme les signatures des plus illustres compositeurs de son temps, dont Berlioz, Liszt, Mendelssohn, Mercadante, Rossini, Offenbach, Auber, Gounod, Meyerbeer, Verdi, Halévy, Catalani et Leoncavallo , ainsi que des violonistes Paganini, Bériot, Sivori, Vieuxtemps, Ernst, Artot et Ole Bull et des pianistes Moscheles, Thalberg et Herz. La proximité du salon de Cessole (Palais de la Place Saint-Dominique, aujourd’hui Place du Palais) à l’Opéra de Nice explique aussi la présence des signatures des plus grands chanteurs d’opéra de l’époque, comme Tamburini, Lablache, Patti et Tamagno. Or, l’originalité de cet album, est qu’il ne s’agit pas d’un simple « livre d’or » de signatures ; chaque artiste y ajoute un petit autographe musical, que ce soit une énigme musicale de quelques mesures ou un morceau entier.
Samedi 13 mai 2017 Bruno de Cessole « Le Palais Spitalieri de Cessole, un foyer de sociabilité niçoise »
Samedi 22 avril 2017 Oriane Beaufils « L'art de la villa : la renaissance du palais sur la côte d'Azur à la Belle Epoque »
Samedi 8 avril 2017 Véronique Thuin « Les palais et palaces de Nice à la fin du XIXe siècle »
Samedi 25 mars 2017 Alain Bottaro « De l’hôtel particulier à l’hôtel de voyageurs (Nice, 1787-1860) »
Samedi 18 mars 2017 Simonetta Tombaccini-Villefranque « Palais nobiliaires et bourgeois niçois (1750-1850) »
Samedi 25 février 2017 Charles Astro « Du Palais ducal à la Préfecture des Alpes-Maritimes. Le Palais niçois des rois de Sardaigne »
Etats Généraux Albigeois - 2 février 2017
Présentation par Jean-Jacques Aillagon, Président de la Mission Nice Patrimoine Mondial, de la candidature de Nice à l’inscription sur la Liste du patrimoine mondial.
Colloque universitaire « Les enjeux du patrimoine », 4 et 5 octobre 2016
Enjeux et dynamique des processus de patrimonialisation
Comment interpréter la propension de notre époque, marquée par la globalisation culturelle, pour les processus de patrimonialisation ? Quels enjeux recouvre-t-elle pour la qualité de vie et le développement des territoires ?
17h à 19h : Conférence (amphithéâtre) : "Combler les lacunes? Une vision pour l'avenir du patrimoine mondial"
par le Dr Tamás FEJÉRDY
Président de l'ICOMOS Hongrie
Docteur en arts libéraux
Architecte-conservateur des Monuments Historiques
Professeur honoraire
Mercredi 05 octobre
10h à 12 h : Table ronde #2 (salon rouge, 1er étage)
L’inscription sur la Liste du patrimoine mondial, et ses effets
Regards sur les méthodes d’inscription, ainsi que sur les effets de la labellisation : son impact sur la conservation des sites, des cultures et le développement des activités touristiques.
14h30 à 16h30 :Table ronde #3 (salon rouge, 1er étage)
La candidature de Nice au patrimoine mondial
Atouts, mise en valeur et en récit d’éléments caractéristiques du patrimoine niçois, dans la perspective de leur inscription par l’UNESCO sur la Liste du patrimoine mondial.
Contributeurs :
Isabelle Brianso, MCF Université d’Avignon, Centre Norbert Elias, Membre élue de l’ICOM – France.
Chloé Campo, Mission Val de Loire, Déléguée générale de l’Association des biens français du patrimoine mondial
Joël Candau, Pr. Université Côte d’Azur, anthropologue, Docteur en ethnologie
Jean Davallon, Pr. émérite Université d’Avignon et des Pays de Vaucluse, cofondateur de la revue Culture et Musées
Tamás Fejérdy, Architecte, Président d’ICOMOS Hongrie, ancien vice-président de l’Office national du patrimoine culturel de Hongrie
Laura Ghinéa, MCF Université de Cluj (Roumanie), présidente de l’association pour la candidature de Baïa Mare-Capitale européenne de la culture.
François Laquièze, Directeur de la Mission Nice Patrimoine Mondial, Ville de Nice
Michael Oustinoff, Pr. Université Côte d’Azur, Directeur de la section d'anglais, Chercheur associé au CNRS, Paris
Jean-Baptiste Pisano, MCF Université Côte d’Azur, LAPCOS et ERMES, spécialiste en histoire de l’art, patrimoine et histoire régionale
Jean-Paul Potron, Ville de Nice, Resp. du pôle Recherche et Inventaire du Patrimoine Historique de la Ville de Nice, rédacteur en chef de la revue Nice Historique
Paul Rasse, Pr. Université Côte d’Azur, directeur du laboratoire I3M
Claire Scopsi, MCF CNAM-Paris, spécialiste des enjeux et méthodes des collectes de mémoires à l'ère numérique
Véronique Thuin, Pr. Université Nice Sophia Antipolis, agrégée, docteur en Histoire
Cycle de conférences 2016 « Les jeudis de la Promenade », C.U.M.
Thursday 21 January 2016 at 6pmAlex BENVENUTONice 1765, the trials and tribulations of Tobias Smollett, and other tales of famous 18th and 19th century tourists
Thursday 18 February at 6pmJudit KIRALY« Nice is nice... » Nice's image in Anglo-American literature
Conférences organisées par le service du Patrimoine Historique :
Jeudi 12 mai 2016 Dir. du patrimoine historiqueLancement de l’inventaire général du patrimoine niçois - Plus d'infos et vidéo
2016, dans le cadre du cycle « Un patrimoine en mémoire »
Samedi 22 octobre 2016 Christophe Grinda «L’hôtel Westminster : le présent au service du passé »
2016, cycle « Les attraits de la villégiature à la Belle Epoque »
Samedi 28 mai 2016 Annick Dubois« La vie trépidante des opéras à Nice entre 1830 et 1914 »Plus d'infos sur la conférence
Samedi 23 avril 2016 Gilles Bouis « Notre- Dame de Nice. Une paroisse pour la « colonie étrangère » Plus d'infos sur la conférence
Samedi 9 avril 2016 Michel Tschann « L’hôtellerie au XIXe siècle, de la villa et maison d’hôte à l’hôtel moderne »
Samedi 19 mars 2016 Jean-Lucien Bonillo «La Riviera de Charles Garnier, entre rêve et raison »
Samedi 20 février 2016 Jean-Paul Potron « Les sports et loisirs à Nice. La villégiature tonique »
Conférence : Jeudi 12 mai 2016
Lancement de l’inventaire général du patrimoine niçois
Introduction par Marion DUVIGNEAU – Ville de Nice - Directrice du Patrimoine historique, de l’Archéologie et des Archives
Geneviève NEGREL – Région PACA – Service de l’inventaire général du Patrimoine culturel
François LAQUIEZE – Ville de Nice – Directeur de la Mission Nice Patrimoine Mondial
Jean-Paul POTRON – Ville de Nice – Service du Patrimoine historique
La conférence était organisée par la DIRECTION DU PATRIMOINE HISTORIQUE dans le cadre du lancement de l’inventaire général du patrimoine niçois.
« La vie trépidante des opéras à Nice entre 1830 et 1914 »
Samedi 28 mai 2016
Annick Dubois, maître de conférences (Musicologie), Université Nice Sophia Antipolis
"Si les théâtre d’opéra n'existaient pas, Nice les aurait inventés. C'est dire que le peuple niçois éprouve toujours le besoin de rassasier largement son imagination, son cœur et ses yeux avec des tableaux, des images et surtout de la musique. Nice privé de musique ne serait plus qu'un corps sans âme » peut-on lire dans Le Nice Guide, Nouveau Cicérone des étrangers de Léo Watripon, paru en 1869, un guide qui témoigne du « défilé splendide, de la cohorte de célébrités, de la marche aux étoiles » qui chantaient sur les nombreuses scènes que comptait Nice au XIXe siècle : l’Impérial Italien de la rue St François de Paule où l’on entendait Donizetti, Rossini, Bellini, Verdi… le Théâtre français de la rue du Temple qui accueillait 2000 spectateurs pour Jacques Offenbach, l’Opéra-Comique de la rue Deloye, le Casino Municipal de la Place Masséna, le Casino de la Jetée Promenade, le Théâtre Politeama qui recevait les troupes lyriques de passage, sans compter les scènes privées comme celle du Château Valrose qui fit entendre La Vie pour le Tsar de Glinka ou le Cercle de la Méditerranée qui créa Lohengrin de Richard Wagner en France.
« Grandes heures de la vie mondaine »
Samedi 21 mai 2016 à 15h
par Dominique Escribe, historien
A la Belle Epoque, Nice est le salon de l’Europe drainant, durant la saison hivernale, souverains, lords anglais, princes russes, grands industriels et banquiers de toutes les nations. Les plus représentatifs et les plus originaux seront ici évoqués…
Les pratiques mondaines sont nombreuses et variées à cette époque. En effet, cette haute société organise des fêtes et des réceptions dans ses villas. Casinos, cercles, théâtres voient défiler les artistes les plus célèbres. Les hôtels organisent des bals. Les mois de janvier et février, temps forts de la saison, voient également se dérouler le Carnaval, les batailles de fleurs et les courses.
« Notre- Dame de Nice. Une paroisse pour la « colonie étrangère »
Samedi 23 avril 2016 à 15h
par Gilles Bouis, archiviste du Diocèse de Nice
Depuis le début du christianisme, la construction d’une église s’inscrit dans l’histoire conjointe d’un peuple et d’un lieu. L’église Notre-Dame de Nice ne déroge pas à cette règle mais connait une particularité : répondre aux sollicitations de la riche colonie « étrangère » installée en villégiature sur la Côte d’Azur dans la seconde moitié du XIXe siècle. D’une architecture résolument française, située loin d’une vieille ville bruyante et sale, la nouvelle église devient, au cours des années, le lieu où la bonne société se presse pour venir écouter des prédicateurs réputés et assister à une liturgie reflet d’un catholicisme triomphant. Ouverte au culte en 1868 puis érigée en paroisse en 1876, Notre-Dame devient le rendez-vous privilégié des familles d’hivernants français. Dès lors, elle devient incontestablement le lieu où religion et mondanité coexistent en parfaite harmonie dans la Nice de la Belle époque.
Jeudi 28 mai 2015 à 18h30Véronique THUINNice : La construction d’une ville pour les élites internationales de l’âge industrie
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Jeudi 4 juin 2015 à 18h30Alain CORBINLa renaissance du désir de rivage et l'évolution de ses manifestations
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Jeudi 11 juin 2015 à 18h30Valter BALDUCCILieux et architectures pour la villégiature balnéaire en Italie
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jeudi 24 septembre 2015 à 18h30Jean RADVANYILes interactions entre la Côte d'Azur et la riviera pontique, les exemples de Yalta et Sotchi
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jeudi 1 octobre 2015 à 18h30Gabor SONKOLYLa notion du paysage urbain historique et ses conséquences
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jeudi 15 octobre 2015 à 18h30Jean-Didier URBAIND'une Méditerranée à l'autre (de l'hivernale à l'estivale, la Côte d'Azur inversée)
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jeudi 12 novembre 2015 à 18h30Jean-Christophe GAYNice dans la géohistoire mondiale du tourisme
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jeudi 19 novembre 2015 à 18h30Alain BOTTARONizza marittima, enquête sur les modèles italiens des loisirs balnéaires à Nice, 1780-1860
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Repenser la conservation urbaine : nouveaux défis et nouvelles approches